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Sri Lanka balade zen.

Publié le 1 Décembre 2015

 

 

EN IMAGE - On l'appelle la larme de l'Inde. Aujourd'hui, le Sri Lanka sourit plutôt. Le nord-est en était l'ultime chagrin. Pacifié depuis 2009, il se révèle enchanteur, complétant une fresque tout en vestiges précieux et merveilles naturelles.

 

 

Non loin de Trincomalee, un paysan s'active dans une rizière… Depuis peu, la côte nord-orientale du Sri Lanka s'ouvre au tourisme balnéaire qui se concentrait auparavant au sud et à l'ouest…

La gorgée glacée de ginger beer, une limonade locale à base de gingembre, rafraîchit alors que le soleil est au plus haut. Une brise légère et bienvenue passe dans la grande paillote ouverte, porteuse d'effluves de curry et d'épices venant du buffet. Une mare artificielle, couverte de nénuphars et de lotus, où cohabitent poissons, grenouilles et serpents inoffensifs, renforce la sensation de quiétude. A quelques dizaines de mètres de Jungle Beach, derrière un rideau de végétation vert émeraude, s'étirent les plages ocre de l'océan Indien, bordées de villages de pêcheurs. Et, disséminés sous les arbres, un groupe de luxueux bungalows, terrasse tournée vers la mer, pour les pensionnaires de l'hôtel. Le décor est planté, propice à une sérénité qui semble, ici, avoir toujours existé. Pourtant, l'existence de Jungle Beach, joyau hôtelier de Kumpurupiddi, au nord-est du Sri Lanka, aurait été impensable il y a seulement cinq ou six ans. Car cette région a été au cœur de deux tragédies. La plus spectaculaire remonte au 26 décembre 2004, lorsque le tsunami qui balaye toute cette partie de l'Asie détruit le littoral oriental de l'île, emportant dans sa furie 38 000 personnes. Si les Sri Lankais réussissent à reconstruire très vite et à faire disparaître la plupart des traces du cataclysme, il leur aura fallu des décennies pour venir à bout d'un autre drame qui a secoué la région. Quand celle-ci, tout le long de la côte, jusqu'à la pointe nord et Jaffna, y compris à l'intérieur des terres, abritait les fameux Tigres tamouls, ou, selon la terminologie officielle, Liberation Tigers of Tamil Eelam (LTTE). Cette contrée paisible était alors une zone de guerre, où se réfugiaient dans la jungle les combattants tamouls. Un conflit commencé dans les années 70 et qui a fait une centaine de milliers de morts. Le pays était, depuis cette période, régulièrement endeuillé par les attaques suicides et les opérations commando. Vastes offensives militaires menées par la SLA, l'armée sri lankaise, et négociations alternaient, avant que le gouvernement reprenne le contrôle du nord et élimine le chef des LTTE, en 2009. Depuis, le pays espère en avoir terminé avec la guérilla. De fait, la paix semble aujourd'hui bien installée, et c'est désormais toute l'île qui s'ouvre aux visiteurs.

Avant de s'aventurer dans la partie nord-est de l'île, la plupart des voyageurs passent d'abord par le centre pour en découvrir les nombreux trésors historiques et culturels, tel le temple de la Dent à Kandy. Derrière ses murs d'enceinte blancs, des femmes habillées d'un sari coloré et des hommes portant chemise blanche se retrouvent autour d'une vasque-fontaine pour se rincer les mains et les pieds ou rafraîchir fruits et fleurs de lotus qui seront donnés en offrande. Emane de cette scène une grâce inouïe, éclairée par la lumière dorée d'un soleil déclinant. Tous sont des fidèles qui viennent prier et méditer dans ce temple, lieu le plus sacré du pays car il abrite, protégée par plusieurs cassettes en or, cette relique vénérée du Bouddha. Dans une société majoritairement bouddhiste (à plus de 72 %), ce sanctuaire aux dimensions modestes incarne l'âme des Cinghalais. Il symbolise un héritage reçu de l'Inde il y a plus de vingt siècles, avant que le grand voisin du nord n'embrasse l'hindouisme et ses divinités en remplacement de l'enseignement du Bouddha. D'ailleurs, le temple est rattaché à ce qui était le palais royal, Kandy ayant été pendant des siècles la capitale du pays. Le Sri Lanka reste profondément attaché à sa foi et il n'est pas rare de voir des automobilistes ou des conducteurs de tuk-tuk faire bénir leur machine par un moine après avoir écrasé des offrandes sous ses pneus. Pourtant la cohabitation avec les autres religions, dans les villages, paraît harmonieuse, alors que dans une même rue peuvent s'aligner temple bouddhiste ou hindouiste, mosquée ou église.

En sillonnant les routes - souvent excellentes - de l'île, on est frappé par la douceur d'une société qui semble largement rythmée par le bouddhisme et par l'école. Les drapeaux bleu, jaune, rouge, blanc et orange qui symbolisent la crémation de celui qui fut le prince Siddhartha, flottent partout dans les rues, sur les maisons ou même les commerces. Et le matin, dès 6 h 30, enfants et adolescents, le plus souvent en uniforme blanc impeccable, marchent sur le bas-côté, sac au dos, pour se rendre à l'école à pied ou en bus, dans un pays dont les habitants savent lire et écrire à 90 %. Même spectacle, même animation et embouteillages en début d'après-midi à la sortie des écoles. Seuls les chiens locaux, tous semblables, souvent apathiques, comme écrasés par la chaleur - pourtant raisonnable en mai - semblent insensibles à l'agitation et à la gaieté ambiantes.

Partout, les petites échoppes installées au bord des routes offrent un condensé des richesses de la nature locale: mangues, papayes, jackfruits, mangoustans, bananes jaunes, vertes, rouges, différentes sortes de noix de coco que l'on perce pour en boire le lait avec une paille. Ce sont d'ailleurs ces richesses et cette profusion qui ont attiré d'abord les marchands arabes, puis les colons portugais, hollandais et enfin anglais. Chaque plante ici semble «utile», soit parce qu'elle s'avère délicieuse, parfumée, soit parce qu'elle possède aussi des qualités pharmacologiques précises. Ainsi, les ananas jaunes ou rouges qui favoriseraient la digestion et la circulation sanguine. La cannelle, bien sûr, qui accompagne plats et boissons, et dont l'huile est supposée soulager les rages de dents ou les douleurs d'oreilles. La citronnelle, associée, dans un baume, à la cardamome et au clou de girofle, combat les moustiques, la sinusite et l'asthme. En cas de coup de soleil, coupez une feuille d'aloe vera et étalez dessus sa sève, sorte de gelée riche en vitamine E, pour en atténuer les effets. Sans parler, bien sûr, de l'indispensable noix de coco qui fournit dessert, boisson, huile, alcool, et dont la coque sert à fabriquer des ustensiles, les fibres, à confectionner des cordages, tapis ou balais. Et tout ceci parfaitement bio et durable. Sur cette partie de l'île, la jungle a largement disparu. Ce n'est plus qu'un patchwork de forêts qui n'a plus rien à voir avec l'enfer vert qui ceinturait autrefois Kandy et engloutissait les armées européennes mal préparées, parties à la conquête de cette ancienne capitale. Aujourd'hui, même si son habitat est réduit, la faune locale reste riche et variée, à condition, parfois, d'avoir de bons yeux pour repérer les caméléons aux aguets sur un muret, ou de furtives mangoustes surgissant de la végétation, le long d'une rivière.

Le mieux pour observer les animaux reste encore de visiter l'un des parcs naturels que compte le pays, souvent aussi riches que ceux d'Afrique orientale. En route vers l'est, il faut, par exemple, s'arrêter à Habarana. Au-delà des classiques promenades à dos d'éléphant, le parc propose des safaris en 4 x 4. Les pistes traversent des paysages de savane, croisent des cours d'eau. Dans le ciel chargé d'une fin de journée, des groupes de calaos de Malabar, aux énormes becs, sont perchés sur les hautes branches d'un arbre mort. Ailleurs, de petits guêpiers d'Orient, qui ressemblent à nos martins-pêcheurs, se fondent dans la verdure. Curieusement, même les éléphants sauvages de la réserve, quand ils quittent les chemins ou clairières, s'avèrent timides et difficiles à repérer dans l'épaisseur de la végétation tropicale. En revanche, partout présents, y compris près des monuments et dans les parcs des villes, varans et macaques sont plus faciles à voir et à photographier. Et ces derniers, peu farouches, sont connus pour voler la nourriture, les objets personnels, voire les appareils photo. Lorsqu'on roule vers le sud de Kandy, le paysage devient plus accidenté, des collines abruptes couvertes de végétation dense aux multiples nuances de vert surgissent de la plaine. C'est dans cette région que les Britanniques - ou le plus souventles Ecossais -, imaginent, dès le milieu du XIXe siècle, de planter du thé à la place des caféiers, dont les plants sont alors massivement détruits par un champignon. C'est d'ailleurs de cette période que date la passion des Britanniques, jusqu'alors grands buveurs de café, pour les cups of tea qui rythment leurs journées.

Un siècle et demi plus tard, les plants de théiers, qui ressemblent à de gros buissons, s'étendent à flanc de coteau. Des femmes tamoules émergent de cette luxuriance d'un vert sombre. Elles s'apostrophent et plaisantent entre elles. Ce sont elles qui assurent la cueillette des feuilles, qu'elles jettent dans un sac dorsal fixé par un bandeau sur le front. Ces paysannes sont les descendantes des centaines de milliers de travailleurs que les Anglais firent venir du sud de leur Empire des Indes. Ici, sur la plantation Mackwoods, travaillent près de 700 cueilleuses.

«Il n'existe, sur le domaine, qu'une seule espèce de théier, à partir duquel nous produisons plus d'une dizaine de sortes de thés. Tout dépend de la qualité des feuilles et des types de traitements qu'elles subissent: temps de fermentation, mode de séchage donnent du thé noir, vert, ou encore de l'orange pekoe. Mais les plus recherchées par certains amateurs restent les silver tips, ou thé blanc. Ce sont les plus petites et les plus jeunes feuilles terminales du théier, qui sont récoltées sur les plants les plus hauts, souvent situés au-dessus de 2 000 mètres d'altitude», explique Neeta Martentyn, responsable commerciale de l'entreprise. Le bâtiment design de l'usine émerge au cœur de la plantation. Y pénétrer, c'est comme entrer dans une boîte de thé géante: un parfum de lapsang souchong aux nuances de bergamote, exacerbé par la chaleur moite, enveloppe les visiteurs.

Plus au nord, dans le «triangle culturel» au cœur du pays, à Dambulla, se situe le temple d'Or. Il abrite le plus grand bouddha assis du monde, qui atteint 30 mètres de haut. Inauguré en 2001, il pourrait apparaître un peu kitsch selon les standards occidentaux (mais c'est souvent le cas en Asie). En revanche, le site comprend aussi un ensemble de grottes décorées, à l'histoire très ancienne. Elle remonte à un siècle avant J.-C., lorsque le roi Walagamba est renversé par une armée tamoule. Le souverain réussit à s'enfuir et est recueilli par des moines bouddhistes retirés dans cette région accidentée. Le lieu recèle un réseau de grottes fraîches et protectrices, où le souverain déchu se cache pendant quatorze ans. Aidé des moines et de ses fidèles, il reconstitue ses forces et organise sa reconquête du pouvoir. Walagamba finit par chasser ses ennemis et retrouver son trône. Pour remercier les moines et le bouddha qui l'ont hébergé, il fait peindre et sculpter des bouddhas et des scènes de sa vie dans le dédale de grottes où il s'était réfugié. Ses successeurs poursuivront son œuvre pendant les siècles qui suivent, et l'ensemble compte plus de 150 statues et peintures de bouddhas, dont certaines impressionnantes, comme dans la grotte n° 3 avec son bouddha couché de 9 mètres de long.

Les sanctuaires bouddhistes et lieux historiques locaux, parfois très anciens, tels le rocher du Lion à Sigiriya, sont souvent construits en hauteur. Ce site a été conçu autour d'un rocher colossal par le roi parricide Kassyapa (et qui finira tué par son propre frère), au Ve siècle. Le souverain, cruel mais raffiné, fait transformer le monolithe en un lion géant et aménager le sommet en palais, jardins et piscines. L'une des parois recèle les fameuses Demoiselles de Sigiriyaet il faut affronter un bon millier de degrés pour les atteindre. Une expérience éprouvante, mais récompensée lorsque l'on découvre, outre le panorama impressionnant à cette altitude, ces fresques séculaires, à la finesse et au charme intacts. Une vingtaine de jeunes filles voluptueuses, aux seins nus, peintes pour Kassyapa,connu pour apprécier la compagnie des femmes. Il existait à l'origine des centaines de ces représentations, ce qui en faisait sans doute la plus grande fresque murale au monde.

Retour sur la côte nord-est, à Trincomalee. Les plages de sable, encore peu fréquentées s'avèrent ici aussi belles que celles du sud et de l'ouest. Au large, les plongeurs découvrent autour d'une barrière de corail un environnement sous-marin coloré et foisonnant de vie. Malgré les centaines de projets hôteliers déposés auprès du ministère du tourisme dès la pacification de la région, ce paradis balnéaire est encore peu exploité, le gouvernement ayant décidé de mettre la barre haut, tant en matière de normes environnementales que de critères éthiques. Inauguré en juin 2012, le Jungle Beach et son concept éco-friendly fut le premier resort inauguré après la guerre civile dans le district. Au bord de l'eau, des petits crabes jaunes fuient les rares promeneurs à toute vitesse. En fin de journée, des centaines de libellules tourbillonnent dans l'épaisse végétation qui borde le rivage doré. Le soleil décline rapidement. La température de l'eau est idéale pour se rafraîchir après un long périple, et l'océan Indien, ici, s'avère paisible. Au large, les pirogues à balancier des marins commencent à s'aligner, en préparation d'une partie de pêche à la lanterne, dans la douceur de la nuit cinghalaise.

Carnet de voyage

Utile

Office de tourisme du Sri Lanka (01.55.73.31.31 ; www.srilanka.travel).Meilleure saison: le nord-est se découvre entre avril et octobre. De fin janvier à avril, préférer un itinéraire dans le sud pour éviter les moussons et profiter d'un ensoleillement maximum.

Y aller

 

 

Au départ de Roissy CDG, SriLankan Airlines (01.42.97.43.44 ;www.srilankan.comassure 4 vols directs chaque semaine pour Colombo à bord d'Airbus A330-200 (de 10 à 11 heuresde vol). A noter que la classe Economique (à partir de 808 € l'aller-retour) des avions a été entièrement reconfigurée, tandis que la classe Affaires (à partir de 2 068 €) propose des sièges-lits inclinables à 180°. A noter, des enchères sont proposées par la compagnie aérienne sur son site, permettant aux passagers de bénéficier d'un surclassement en Business.

Organiser son voyage

 

 

Traveler in the World (01.42.36.19.10 ; www.travelerintheworld.fr) .Fondée en 2008, cette agence propose des itinéraires sur mesure d'exception. Pour découvrir la partie nord-est du Sri Lanka (d'avril à octobre, donc), elle suggère ce forfait de 7 nuits à partir de 2 750 €. Prix au départ de Paris sur SriLankan en classe Economique, incluant les taxes, le circuit en voiture privée avec chauffeur-guide anglophone de Colombo à Kuchchaveli (et les transferts à Colombo lors du retour depuis Trincomalee en avion, lui aussi inclus), les visites «classiques» à Kandy, Matale, Dambulla, Mihintale, Anuradhapura, Sigiriya, Habarana, Polonnaruwa, Passikudah, Trincomalee et Colombo. Et les nuits en demi-pension: 2 en chambre Deluxe au Mahaweli Reach à Kandy, 2 en chalet Classique à l'Ulagalla à Anuradhapura, 1 en Beach Studio à l'Uga Bay de Passikudah et 2 en Beach Cabin au Jungle Beach de Kuchchaveli.

Notre sélection d'hôtels

 

 

A Kandy, le Mahaweli Reach (00.94.812.472.727 ; www.mahaweli.com).Aménagé dans d'anciens bâtiments coloniaux au bord de la rivière Mahaweli, ce grand hôtel (115 chambres) est une base fort agréable pour découvrir les trésors de l'ancienne cité royale. Piscine, tennis, badminton (golf à proximité), spa, restaurant, terrasse au bord de l'eau: tout y est. 210 € en chambre Deluxe avec petits déjeuners.

 

 

A Dambulla, l'Heritance Kandalama (00.94.665.555.000 ;www.heritancehotels.com) .Au cœur du triangle culturel du pays, près de Kandalama, Dambulla et Sigiriya, cet hôtel design 5 étoiles, parfaitement intégré au paysage, joue la carte de l'écologie: énergies alternatives, retraitement des déchets, excellente cuisine bio… 170 € avec petits déjeuners en chambre Supérieure.

A Anuradhapura, l'Ulagalla (00.94.112.328.832 ; www.ugaescapes.com) .Dans le bâtiment principal, parfaitement restauré, de ce palace colonial, on ne serait pas surpris de tomber sur des officiers de Sa Majesté britannique! Les chambres (des appartements, plutôt) sont disséminées dans un parc magnifique, certaines avec piscine privative. Un potager fournit le restaurant en produits frais. Service impeccable, spa. 315 € avec petits déjeuners en Ulagalla Villa.

 

 

A Passikudah, l'Uga Bay (00.94.655.671.000 ; www.ugaescapes.com) .Sur la côte est, un 5 étoiles doté d'une cinquantaine de studios (50 m2), tous avec vue sur l'Océan, comme le restaurant. Spa (étonnantes, les salles de soins semi-souterraines avec hublot sur la mer). Bar de plage. 150 € avec petits déjeuners en Beach Studio.

 

 

A Kuchaveli, le Jungle Beach   (00.94.265.671.000 ; www.ugaescapes.com) . Noyé dans la végétation, cet hôtel ecofriendly qui intègre les arbres à sa décoration est membre des Small Luxury Hotels of the World. Service et confort 5 étoiles dans les chambres (certaines sur la lagune, d'autres avec terrasse ou balcon sur la jungle). La jolie plage de Trincomalee est à deux pas. Restaurant, piscine, petit spa, cours de yoga. 170 € avec petits déjeuners en Lagoon Cabin.

Shopping

 

 

A Colombo, Barefoot (112.589.305 ; www.barefootceylon.com) .Un endroit très hype dans la capitale. On y trouve l'essentiel des productions de l'artisanat sri lankais sur plusieurs niveaux. Dans la cour intérieure, un restaurant propose une carte variée à des prix abordables.

A Kandy, au 935, Peradeniya Road, Silk Gardens. Grand choix de châles et d'écharpes en cachemire et en soie à des prix raisonnables. Costume sur mesure en quelques heures. Et au dernier étage, en terrasse, un très agréable restaurant (différentes préparations de currys).

Découvrir

 

 

Agalawatte Plantations (112.679.598 ; www.mackwoods.com) .A visiter pour la beauté des paysages, l'intérêt des explications, la dégustation et, enfin, la boutique qui propose une sélection de thés et objets liés à sa culture.

Rédigé par Régis Baillargeon

Publié dans #Voyage

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